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Troubles digestifs: trop ou pas assez d'acide?

Tout le monde connaîtra un jour ou l’autre des symptômes d’une mauvaise digestion : brûlures d’estomac, lourdeurs gastriques, rots, nausée, ballonnements, flatulence. Si le problème n’est que passager, nul besoin de s’inquiéter, mais s’il persiste, il faut y voir. Une trop grande accumulation de gaz dans l’estomac peut causer de telles douleurs qu’elle est souvent confondue avec la crise cardiaque. Il s’agit donc d’un symptôme important méritant un examen plus approfondi.
 

L’acide chlorhydrique : à quoi ça sert?
Lorsqu’on souffre de brûlures d’estomac, on pense immédiatement à un surplus d’acidité et on tend la main vers un antiacide. En fait, ce n’est pas toujours le cas. (Lire la suite...)


Article publié dans le webzine Girlykréyol

La fatigue persiste: thyroïde ou glandes surrénales?

 
Dans un monde parfait, les périodes de stress devraient être occasionnelles et temporaires. Malheureusement, notre rythme de vie trépidant fait que ce n’est pas toujours le cas. Sachant que le corps humain forme un tout qui travaille en synergie, il n’est guère surprenant d’apprendre qu’il existe un genre de système de collaboration entre les glandes surrénales et la glande thyroïde. Rappelons-nous que les glandes ne travaillent jamais séparément ; chacune n’est qu’un maillon d’une chaîne. Elles sont indissociables, chaque glande influence le fonctionnement de l’autre. Il semble y avoir un délicat équilibre entre la thyroïde et les surrénales. 
 
La fatigue surrénalienne peut, en fait, empirer certains troubles thyroïdiens. Pour ne citer qu’un exemple, lorsque les taux de cortisol sont très élevés, le processus de conversion de la thyroxine (T4) en hormone T3 peut être altéré. Du coup, l’état des glandes surrénales affecte sérieusement la disponibilité d’hormones thyroïdiennes libres. Il arrive donc qu’en traitant les glandes surrénales, la thyroïde reprenne de la vigueur.  
 
Similitudes et différences
Plusieurs symptômes liés à l’épuisement des glandes surrénales sont très semblables à ceux des troubles thyroïdiens : fatigue, prise de poids, nervosité, anxiété, dépression, faible résistance au stress, baisse de libido, troubles prémenstruels, troubles de la mémoire, constipation ou diarrhée, allergies, mains et pieds froids. Malgré cette similitude symptomatique, la fatigue ressentie lors d’un hypofonctionnement thyroïdien est généralement moins importante le matin et augmente au fur et à mesure que la journée avance, ou commence tout simplement plus tard dans la journée. 
 
Voici quelques signes indicateurs qui peuvent vous aider à mieux comprendre la source du manque de vitalité qui vous afflige :
  • Un manque d’énergie qui se fait sentir tout au long de la journée pourrait être causé par un trouble de la glande thyroïde.
  • De même, lorsque le niveau d’énergie est à son plus bas après 18h, une hypoactivité de la glande thyroïde pourrait être en cause.
  • Lorsqu’on se sent épuisé dès le réveil et tôt dans l’avant-midi, même après une bonne nuit de sommeil, cela implique habituellement une fatigue surrénalienne.
  • Lorsque le déficit d’énergie est très sévère et se produit tout au long de la journée, il peut y avoir un état déficient de la glande thyroïde et des glandes surrénales.

La glande thyroïde en cause
Le docteur James L. Wilson, dans son excellent livre L’adrénaline : trop, c’est trop ajoute aussi quelques points intéressants qui indiqueraient un trouble de la glande thyroïde :
  • Votre température basale, prise avant le lever, est inférieure à 36,7 degrés C (orale) ou 36,2 degrés C (axillaire).
  • Les exercices physiques n’augmentent pas votre endurance ni votre capacité physique (l’exercice est profitable aux gens souffrant de fatigue surrénalienne).
  • Vous êtes prêt à aller au lit dès 21h30, et vous n’avez pas de deuxième souffle à 23h, comme cela arrive souvent lorsqu’il s’agit de fatigue surrénalienne.
  • Vous vous sentez léthargique et endormi pratiquement toute la journée. Les gens souffrant de fatigue surrénalienne ont un regain d’énergie vers 10h ou après le repas de midi.
  • Votre niveau d’énergie n’augmente pas de façon marquée après le souper ou après 18h, comme il arrive souvent avec la fatigue surrénalienne.
  • Le côté extérieur de vos sourcils s’amincit, jusqu’à disparaître.
  • Vous prenez du poids facilement, surtout autour des hanches et des cuisses, même en mangeant normalement. 
Des changements au style de vie visant l’alimentation, la supplémentation de certains éléments nutritionnels, la gestion du stress, l’exercice modéré et le repos adéquat sauront rétablir la santé de ces glandes indispensables à notre bien-être.
 

Référence : Gisèle Frenette, L’hypothyroïdie expliquée, Québec-Livres, 2009, 2013.

Vacciner les enfants contre le papillomavirus: mauvaise idée!

Je partage ici un article très informatif écrit par mon ami Ghislain Martel sur son site internet.

Papillomavirus
Si j'en parle ici, c'est que la politique au sujet des mesures de santé est très proche de celle de nos cousins européens et ce dilemme nous concerne aussi au Québec.

Devrions-nous accepter de faire vacciner nos enfants contre le papillomavirus (HPV)?

Actuellement en France, un rapport publié par le Haut Conseil de Santé Publique préconise l'introduction en masse de la vaccination contre le papillomavirus (HPV) dans les écoles, soi-disant pour lutter contre le cancer du col de l'utérus et d'autres infections sexuellement transmissibles.

Le rapport préconise entre autres d'abaisser à 9 ans l'âge de la vaccination, autant chez les garçons que chez les filles.

Le Pr Henri Joyeux, cancérologue et chirurgien, met en garde contre une telle action unilatérale qui pourrait mener à beaucoup plus de complications qu'à une réelle incidence sur le cancer en question. En effet, le vaccin impliqué comporte de graves risques d'effets secondaires très sérieux et potentiellement invalidants, voire mortels.

Selon le professeur Joyeux, cette recommandation par l'agence de santé française ne peut-être que le résultat du lobbying des compagnies pharmaceutiques qui cherchent à augmenter leur clientèle et leur profit par un habile stratagème par la bande et grâce à ce rapport faussement scientifique. Le vaccin ne protègerait pas à 100%, loin de là, mais il présenterait de graves risques d'effets secondaires.

« Ils vous cachent que ces vaccins ne protègent pas du tout à 100 % contre le cancer du col de l’utérus. La protection est à peine de 70 % !
Cela veut dire qu’une personne vaccinée a toujours 30 % de risque d’attraper le cancer du col de l’utérus. Prendriez-vous un avion qui aurait 30 % de risque de tomber ?
Moi pas.»[1]
 
Mais voilà, cette recommandation une fois approuvée, pourrait propulser les ventes des deux principaux vaccins anti-papillomavirus, GARDASIL(R) ET CERVARIX(R), à des sommets jamais atteints par les multinationales.  (Lire la suite...)