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Salade de riz sauvage

Je ne sais pas d'où vient cette superbe recette de salade, mais elle vaut la peine d'être essayée!

Salade de riz sauvage
1 tasse de riz sauvage
4 tasses d'eau
1 oignon, haché
2 c. à soupe de beurre
1/2 tasse de riz à grains longs converti
1 tasse de bouillon de poulet
1 boîte de 14 oz de coeurs de palmiers, tranchés
1 poivron jaune, coupé en dés
2 oignons verts, hachés
1 tomate, épépinée et coupée en petits morceaux
1/3 tasse d'huile d'olive pressée à froid
3 c. à soupe de vinaigre balsamique
sel et poivre

Dans une casserole, cuire le riz sauvage dans l'eau salée environ 45 minutes ou jusqu'à tendreté: bien égoutter et réfrigérer.

Dans une casserole, cuire l'oignon dans le beurre puis ajouter le riz converti: bien enrober de beurre.

Incorporer le bouillon de poulet et porter à ébullition; couvrir et réduire le feu au minimum. Cuire 20 minutes sans remuer.

Retirer du feu et remuer doucement à la fourchette: réfrigérer.

Dans un bol, mélanger le riz sauvage, le riz converti et le reste des ingrédients.

Servir froid. (Meilleure si on la prépare quelques heures à l'avance.)

Donne 8 portions.


Les saignements vaginaux

Tout en sachant que les femmes ont souvent des symptômes féminins les plus différents les uns que les autres, je ne peux malheureusement pas répondre les questions individuelles. Si les symptômes semblent anormaux et vous inquiètent, consultez rapidement un médecin. Vous serez ainsi rassurée et rapidement prise en charge si nécessaire. Merci de votre compréhension. 


Chez la femme, tout saignement vaginal en dehors de la période des menstruations devrait être considéré comme suspect. Il arrive par contre que certaines femmes aient quelques taches sanguinolentes au moment de l’ovulation. Un examen médical saura déterminer la cause exacte du saignement et vous diriger vers le traitement approprié s’il y a lieu. Le médecin pratiquera un examen vaginal, un test de Pap (Papinicalaou – cytologie) et au besoin demandera une échographie ou autres examens.

Voici quelques causes de saignement vaginal :

• Un dosage inadéquat de la pilule anovulante (contraceptif).
• Le fait d’avoir oublié un comprimé contraceptif. Ceci augmente le risque de grossesse.
• Une complication liée à la grossesse. Tout saignement durant la grossesse exige une visite immédiate au médecin traitant afin d’exclure les risques de fausses-couches ou de grossesse ectopique.
• La dysplasie cervicale (cellules anormales au col de l’utérus) est détectée par le test Pap. Ces cellules atypiques peuvent potentiellement se transformer en cellules cancéreuses si aucun traitement n’est instauré.
• Un dysfonctionnement ovarien peut entraîner des saignements. Durant la période de la préménopause, il arrive qu’il y ait un épaississement de l’endomètre et la désagrégation des tissus peut causer des saignements.
• Les polypes sont des tumeurs bénignes situées sur le col; ils saignent facilement au contact.
• La cervicite est une inflammation du col de l’utérus généralement causée par une infection bactérienne ou virale. La chlamydia, une infection transmissible sexuellement, est souvent en cause. Les saignements apparaîtront entre les règles ou après la pénétration.
• Les fibromes sont des tumeurs bénignes qui peuvent être situés dans la paroi l’utérus. Selon leur localisation et leur grosseur, ils peuvent causer des saignements, de la lourdeur abdominale et de la douleur.
• L’endométrite est une infection de l’endomètre, la couche interne de l’utérus. Elle est causée par des bactéries et généralement accompagnée de fièvre, de douleur abdominale basse et de pertes vaginales jaunâtres malodorantes.
• Des saignements vaginaux peuvent être occasionnés par des rapports sexuels énergétiques (petites lacérations de la paroi vaginale) ou par un manque de lubrification.
• Le stérilet ou tout corps étranger peut provoquer des saignements non cycliques.
• Le cancer du col de l’utérus, de l’utérus ou du vagin.
• Certaines maladies ou médicaments (comme les anticoagulants) peuvent susciter des saignements inopportuns.



La vitamine D et votre système immunitaire

On sait depuis longtemps que la vitamine D est importante pour l'absorption du calcium (prévention de l'ostéoporose) et qu'elle est liée à certains cancers et à la sclérose en plaques, mais les scientifiques réalisent maintenant son rôle vital dans l'activation du système immunitaire. La vitamine D est absolument essentielle au bon fonctionnement du système de défense du corps. En effet, les cellules T (tueuses) ont besoin de cette vitamine pour devenir actives. Des recherches récentes ont découvert que les lymphocytes T ou cellules T du système immunitaire restent dormantes lorsque les taux de vitamine D dans le sang sont bas. Les cellules T sont alors incapables de reconnaître des facteurs menaçants pour la santé comme une infection ou un microbe pathogène.

On estime que la moitié de la population mondiale souffre d'une carence en vitamine D. Un taux adéquat de cette vitamine pourrait aider à combattre les maladies infectieuses et les épidémies, ainsi qu'à offrir une protection contre le rejet lors de transplantations d'organes. En plus de son rôle connu pour la santé des os et des dents, elle pourrait contribuer à prévenir le diabète de type 1, certaines maladies auto-immunes et les troubles cardiovasculaires.

On l'appelle aussi la vitamine soleil car elle est synthétisée par le corps humain lorsque la peau est exposée à l'effet des rayons ultraviolets. Une exposition au soleil du visage, du dos des mains ou des bras, sans écran solaire de 10 à 15 minutes par jour, est suffisante pour maintenir des taux adéquats de vitamine D. Il ne faut pas oublier qu'une exposition prolongée sans écran solaire augmente les risques de cancer de la peau. Les personnes qui vont peu à l'extérieur comme les personnes alitées ou certaines personnes âgées sont plus à risque de carence.

La vitamine D est peu présente dans l'alimentation; on la trouve surtout dans les poissons gras et elle est ajoutée au lait dans plusieurs pays industrialisés. Elle est aussi disponible sous forme de supplément.

Lire un dossier complet et intéressant sur le sujet:
http://bit.ly/agS9FH

Les troubles cardiaques

Saviez-vous que le premier signe d’un trouble cardiaque est souvent un infarctus (attaque de cœur) fatal. En effet, il ne faut jamais prendre son corps pour acquis. Il faut s’assurer de le maintenir en bon état tout comme on le fait pour notre voiture. Longtemps avant une attaque de cœur ou un accident cérébro-vasculaire (caillot qui cause la paralysie), on peut détecter des symptômes avertisseurs si on prête attention.
Dans son livre intitulé Nutritional bypass, David Rowland nomme les signes suivants :
 
  • Doigts et orteils souvent froids
  • Engourdissements répétés des bras et des jambes
  • Bras et jambes pesantes
  • Une ligne en diagonale très visible au lobe de l’oreille
  • Sensation de picotements dans les lèvres et les doigts
  • Douleur et crampes dans les jambes lors de courtes marches
  • Mémoire qui se détériore
  • Chevilles qui enflent à la fin de la journée
  • Toux persistante
  • Souffle court au moindre effort ou lorsque allongé
  • Se lever uriner plus de deux fois par nuit
  • Un cercle blanchâtre entourant l’extérieur de la cornée de l’œil
  • Hypertension
  • Douleur à la poitrine après un effort physique ou un stress émotionnel.
Bien que certains de ses symptômes puissent avoir une autre cause, il ne faut pas négliger de les explorer. David Rowland mentionne aussi des facteurs de risques qui peuvent contribuer à la maladie des artères. Certains de ces facteurs sont surprenants :
  • Fumer
  • Consommation d’huiles polyinsaturées
  • Préservatifs dans les aliments comme les nitrites et les nitrates
  • Inhalation de monoxyde de carbone (gaz d’échappement)
  • Pollution de l’air, inhalation de chimiques toxiques
  • Constipation chronique
  • L’eau chlorée (boire ou se laver)
  • Radiation (radiographie, rayon ultraviolet, rayon gamma)
  • Stress au travail ou à la maison
  • Manque d’exercices réguliers
  • Consommation excessive de sucre, d’alcool et/ou de caféine.
Fort heureusement, tous ses risques sont évitables. En être conscient peut nous aider à mieux prendre notre santé en mains. Une autre mesure importante est de réduire le cholestérol sanguin s’il excède 5,2 mmol/l, ce qui est la normale souhaitable. Il est considéré élevé s’il est supérieur à 6,2 mmol/l. Le bon cholestérol ou HDL doit être supérieur à 0,9 mmol/l, et le mauvais cholestérol ou LDL, inférieur à 3,4 mmol/l. Les triglycérides devraient être inférieurs à 2,3 mmol/l. Ces derniers sont des matières grasses qui circulent dans le sang avec le cholestérol.

La consommation totale de matières grasses ne devrait pas dépasser 30% des calories de la journée, et pas plus du tiers provenant des gras saturés. Pour une femme de 19 à 74 ans, on suggère 1800 à 2000 calories par jour, avec 65 grammes de gras ou moins (13 c. à thé – 5 grammes de gras égalent environ 1 c. à thé ), et pour l’homme de la même âge, 2300 à 3000 calories par jour, avec 90 grammes de gras ou moins (18 c. à thé). Vous me direz certainement : « Mais comment mesurer les gras? » Plusieurs aliments les indiquent maintenant sur leurs étiquettes, et il est facile de vous procurer un livret pour vous aider, soit au cabinet du médecin, auprès d’un pharmacien ou dans une clinique de santé. L’Internet reste aussi un outil très utile.